[Koma] Textes et idées vagabondes

Textes personnels, allant de compos de mon groupe à des textes sans but, des idées, des délires.

Pas de règles, freestyle sur la compo, j'aime pas suivre les normes de la poésie académique.

L'art est sans limite aucune quand il vient du coeur.


La le seul que j'ai sur la main est une chanson folk rock du groupe, pas encore terminée, que j'ai commencé à rédiger au bahut.


(pas de titre)

C'est au bout de la bière qu'on leur raconte des histoires
qu'on les plume de leur oseille pour finir sur un trottoir
mais moi c'est pas pareil j'viens de là où il fait noir
d'un endroit où même pour elle le trottoir c'est bien trop tard
c'est un p'tit endroit du monde où les filles sont si jolies
un endroit où la bière blonde peut couler à la folie
mais bon...

C'est au bout de la bière qu'on héberge des voleurs,
des comédiens ratés, des reubeus des emmerdeurs
c'est le Chatillon du Monde, nous on fait de la musique
et tout en fumant des blondes on succombe à la panique
car on est pas encore mort, et on a droit à la vie
et dans un nouveau décor on pourrait vivre une folie
mais bon...

C'est au bout de la bière qu'on se perd dans les regards
de ces jolies demoiselles au passé un peu trop noir
elle nous prennent par la main et nous mènent à notre lit
et tout en roulant dans le foin on leur crie à la folie
qu'on est amoureux d'elles, ces filles si jolies
si jolies qu'on en crève pour une histoire de paradis
mais bon...


Voila voila, peut être un jour...

Oui, c'est assez mélancolique optimiste, mais j'étais de bonne humeur au lycée.

Walking in heaven/Thinking in hell

the woman lives in my head
since so long now it grows
drawing a world of sensation
painting my future mission


the sugar boil in my veins
getting mad of frustration
searching the sun in the sea
gonna find the title's name


imagination is my amphetamine
building my dreams of illusion
imagination is the freedom
of my claustrophobic existence


the garden is empty of flash
three, two, one fire
big bang the sky's open
big bang forbids entrance

imagination is my amphetamine
building my dreams of illusion
imagination is the freedom
of my claustrophobic existence

this is the end

imagination is my amphetamine
building my dreams of illusion
imagination is the freedom
of my claustrophobic existence

the voice so peace when brain is saved
come in and live, you're my freedom


Morceau sur les psychotropes, le bonheur du superficiel face au mal être de la descente.

Paradoxe echappatoires physiques (drogues, zik) /rage, drogue, malaise, révolte...

Ecrit un lendemain de soirée défonce l'an dernier...

soirée de défonce oui.
elles raisonent bien. commes des paroles de chanson. de ttes façons elle sont écrites pour ça..
cette fois ci elle proviennent de toi. le mythe se reconstruit.

ps. qd tu dis THE women, tu en désignes quelques une en particulier ? parce que si c une généralité, il n'y a pas de déterminant.

Juste, c'est le -e.

Faute de frappe.

je pardonne ta faute de frappe. haha.

j'ai vraiment accroché sur le premier texte.
j'aime bien la répétition du début de phrase et comment c'est construit.
pour être honnète quand j'ai lu la première phrase j'ai su que j'allais aimer.
et puis je sais pas j'aime bien l'athmosphère de ton texte. et j'aimerai bien la musique qui va avec

Hey c'est pas mal. Frais et léger comme une tartine de boursin.

J'aime

J'aimais bien moi l'avatar que j't'avais mis !

Merci vieux.

Koma a écrit:

J'aimais bien moi l'avatar que j't'avais mis !

Merci vieux.

J'aimais bien aussi, mais bon, voila quoi, celui la est très bien aussi

haha. c'est frais comme une tartine de boursin. =')
arrete des fréquenter maité Veau.
=D

Fish. a écrit:

haha. c'est frais comme une tartine de boursin. =')
arrete des fréquenter maité Veau.
=D

C'est le premier truc qui m'est venu à la tête : frais et léger.

Subtil aussi. J'aime

au dessus, les yeux du bonheur, la peau de la passion
je ne ressentais rien d'autre qu'un vide ténèbreux
mon coeur était crucifié par l'absence d'un dieu

rien à imaginer

j'ai craché les pleurs du désir dans la bouche de la frustration
vis autant que tu respires car la mort est infinie.

mais si tu m'as. moi. déesse à idolatrer.
bon okay je sors.
nan mais c'est que. euh.
voila quoi.
j'aime. (L)

J'ai beaucoup aimé le premier, mais le second m'a laissé plus froid. Tu fais des trucs meilleurs en Français qu'en Anglais, je pense.

Mmh, je sais pas trop, ça dépend de mon état d'esprit et de cleanité/défonce avancée.

"All that you took back"

And I see all the little prayers
Screaming in their sight
I know all this pain and anger
Burning through my mind

My dead eye is falling in dust
Turning my despair back
In your lies I was the first
To blow away all that you took back

Sorry I’ve left my last asset
To freeze it deeply in their fears
Sorry I won’t keep what you get
I feel inside of me these dirty tears

My dead eye is falling in dust
Turning my despair back
In your lies I was the first
To blow away all that you took back

Last night I was gone so far
I just wanted to find again
A remedy to my nightmare
A freedom behind my chains

Cuila est vieux, date du lycée.


***

Au point du jour meurent les infinies tendresses
Les muses d’un amour envolé avec ses caresses
Mon esprit vacille et s’éteint lentement
Le seul qui compte et le seul qui vit
La naissance est un mensonge, une douce tromperie
Qui à son existence s’effrite au premier instant

Les voyageurs du silence marchent vers la lumière
D’un pas lent et résolu, meurtriers d’âmes
Un poignard d’argent glacé contre mon cœur
Bardes éternels et bouffons du crépuscule
Marchez encore et chantez le jour qui recule
Versez le vin du secret aux ombres sans folie
Sans raison au gré du vent des saisons

Les jours disparaissent avalés par la nuit
Les nuits tombent et isolent nos vies
Je t’ai vu pleurer dans une ville sans lumière
Se faire un chemin parmi les pierres
Se faire un chemin parmi les pierres

Phrases longues et incessantes, décor figé, abrutissant
Longue et profonde fatigue, celle d’un regard fugitif et vide
Rien ne reste au lendemain terni de ton doré
Un royaume sans rois ni prétendants
Où je me suis enfui pour pouvoir à nouveau voler.

(avril 2005)

suite à ce dernier texte me vient une question:

je peux être proclamée fan officielle?

Sstun honneur

Le dernier est un texte que j'ai écrit qui a servi de base à un de nos morceaux.

A l'époque c'était ma période D3 du lycée.

Défonce Déprime et période Doors.

sympa les textes, moi j'écris pas mal également dans la musique, et j'ai quelques groupes, un de rock/reggae, un de jazz, et un de hip hop, si je peux faire partager mes écirts ici, ce sera avec plaisir.

Faypaytay ton propre topic mec

Les yeux perdus dans la lumière
Planant hagard, sans toucher terre
La tête calée entre tes deux globes
J’ai trouvé mon apesanteur, état sans codes
Et sans limites, loin du vacarme du silence
Où rien n’existe, ni espace ni temps
Respirant ton odeur, j’ai laissé fuir mes idées
Les yeux fatigués, s’éteignent les couleurs acides
La tête calée pour reposer ma pensée
Rongée par le vide

Ton regard a depuis détruit les paysages
Et m’ensorcelle, où sont donc passé les mirages
Qui nous indiquaient le chemin à poursuivre
Disparu dans tes yeux, je n’arrive plus à suivre

La chaleur de ton corps auquel je me suis ancré
Termine de m’apaiser, sans bruit je t’écoute respirer
M’abandonnant sur les courbes magnifiques
Les traits désirés de ton corps me sont bénéfiques
Ils calment la pulsation de mes plus sombres pensées
Les mêmes qui durant tout mon voyage m’on trop souvent trompé

Plonge tes yeux dans mon âme égarée
Et lis au plus profond de moi combien je te suis dévoué
Tu m’as arraché au poison de la vie
Et pour toujours je veux rester enlacé ici
Les yeux perdus dans cette lumière tamisée
Je veux m’éteindre ici, qu’on me laisse oublier

La tête calée entre tes feux globes j’ai trouvé
Mon point d’apesanteur pour y reposer
Ma pensée, rongée par le vide

Alors je laisse tes bras furtivement m’enlacer
Soudé à toi, je ferme les yeux et me laisse porter
Les couleurs ont disparu, tu m’as emprisonné
Et je respire tes cheveux, laissant ta présence m’apaiser
Ma joue contre ton cœur, sentiments égarés
Le point d’apesanteur que j’ai trouvé
Les yeux fermés pour reposer ma pensée
Rongée par le vide


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C’était hier ou eut être aujourd’hui
A vrai dire tous les souvenirs se sont enfuis
Sous nos étoiles il a ouvert une porte
Sans prendre garde à chercher où elle le transporte

Il a vu et senti brûler son âme
Il a essayé mais trop vive était la flamme
Derrière ses lèvres s’est révélée l’amertume
Qui l’a précipité peu à peu dans la brume

La même qui a enveloppé son cœur blessé
Quand elle a fuit pour libérer ses pensées
Un résultat contraire, il s’y est accroché
Cherchant à comprendre pourquoi tout ça est arrivé

Et aujourd’hui s’éveille le gris des jours
Temps étiré, sans rebonds ni soleils
Où la complaisance dans la pitié, fille bannie de l’amour
L’a transformé en ombre qui ne pense plus ni ne s’éveille

Sentiments confus qui ont pourri l’existence
Brûlé les rêves et aiguisé la réalité
Marchant sans but, dormant éveillé
A l’espoir envolé d’y retrouver un sens

Elle est celle qui a donné les rêves et les a repris
Elle est celle qui a allumé la chaleur et a brisé la liberté
Elle est celle qui a brûlé les ailes et a créé le mépris
Le même qu’il se jette sans cesse pour tenter d’oublier.


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Incandescence

Elle m’a dit « viens » un après midi d’orage
Je l’ai suivie à travers les reflets des mirages
Marchant hagard sur le chemin des étoiles
Et m’abandonnant dans ses yeux bleu pâle

Elle m’a montré le jeu des visages
Et tout en perdant l’innocence de l’enfant sage
Sa danse a tracé la lumière estivale
Son cœur m’a fait perdre le sens du détail

Une évidence qui s’est découverte
Celle de son regard qui a captivé mon être
Elle a consumé la flamme et rétabli la trêve
Elle a brisé mes liens et m’a donné les rêves.

Elle m’a montré le jeu des visages
Et tout en perdant l’innocence de l’enfant sage
Sa danse a tracé la lumière estivale
Son cœur m’a fait perdre le sens du détail


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I heard you voice when you saw my thoughts
I guess this day I wasn’t strong enough
Now I’m fed up with the ghosts around me
And I’m gonna runaway so far of here

Cause I don’t want understand you anymore
And I hope you’ll take what I’m waiting for
When any else solution is found
It takes a time to feel that comes around

The last thing I remember was you look on me
But I thought I didn’t have to feel guilty
And then I turn and leaved your home again
And I walked on the stars to forget the pain

Cause I don’t want understand you anymore
And I hope you’ll take what I’m waiting for
When any else solution is found
It takes a time to feel that comes around

Yeah I don’t want understand you anymore
And I hope you’ll take what I’m waiting for
When any else solution is found
It takes a time to feel that comes around

Yeah I don’t want understand you anymore
And I hope you’ll take what I’m waiting for
When any else solution is found
It takes a time to feel that comes around

...
*sans commentaire*

ou si, tu m'épouses ?

ouais, avec une robe grunge sur toi et une couronne de roses noires , et du Babyshambles en fond sonore à l'église

hahahahaha.
oké_____________

wake me up when winter ends
cause it's time to see you again my love
and i just feel
alright.
good morning. good afternoon. goodnight.
takes me to the world and keep us
as bright as the stars that shine.

c'est zoli.

la première phrase m'a quand même quelque peu fait pensé à green day